J’ai beaucoup à cœur la situation des femmes, non que je sois catégoriquement féministe, mais comme représentante principale de l’énergie au féminin, me revient la tâche dans ce domaine ardu.

Jusqu’il y a 20.000 ans existait sur cette terre le matriarcat, aujourd’hui on le voit encore dans les espèces animales comme les éléphants, les balaines, les singes et autres petits animaux.

Pourquoi ce changemen ? Ne serait-ce pas plus beau, un monde où puisse exister l’égalité entre homme et femme ?A l’origine une même énergie se divisa en deux : le garçon reçut une part, la fille une autre. Ensemble ils sont comparables, se soutiennent, se complètent, s’aiment, font une nouvelle vie, construisent, sont artistes, dansent, chantent, plaisantent, rient et pleurent. Ce serait merveilleux pour chacun de pouvoir se fier à son compagno, de se dire à eux-mêmes : lui, elle est ici, elle berce mon cœur comme je berce le sien, nous sommes une force du ciel et de la terre et personne ne peut s’introduire entre nous et rompre notre lieu, notre harmonie. Ce serait un vrai miracle ! Qunad je parle avec des femmes et des hommes qui viennent me voir pour être aidés et guéris, je leur tiens toujours ce language et toujours se révèle le grand orgueil de tous les deux. Voilà, c’est cet orgueil personnel le germe maléfique, inoculé dans les cœurs et les sentiments des gens, qui a tout bouleversé ! je suis une aliène, je vois les choses autrement, je sais où est le but et ce qu’il faut changer. Alors je m’adresse aux jeunes mamans et leur dis : essayez d’éduquer vos enfants de manière plus conforme à leur nature, ne les laissez pas livrés à eux-mêmes, n’en faites pas les réceptacles de vos peurs, douleurs, espoirs brisés, dépits et rages, parce qu’ainsi le monde tombera encore plus bas et ne se relèvera plus ! L’ange du foyer s’est aujourd’hui transformé et une sorte de Rambo avec la mitraillette pointée à la place du balai. Ceci montre que la femme, au lieu de se libérer et de s’élever en volant comme un papillon, rivalise avec le mâle prévaricateur et possessif.  Les hommes sont en train de retourner en eux-mêmes, et si dans la rue on rencontre plus de papas avec voitures d’enfants et poussettes, des « papa-maman »,d’autre part continue la saga des jeunes qui pensent à l’espèce féminine seulement comme objets licencieux (quand tout va bien) et d’autres qui rivalisent avec les femmes au point de devenir féminines à 360 degrés. Qu’est-ce qui ne va plus ? C’est le mal de bien-être ? du système ? Pour moi, c’est le malaise des âmes ! çe temps passe, et l’humanité s’achemine dans ce processus qui a commencé il y a tant de siècles vers une évolution substantielle qui amènera les créatures à être pareilles aux Anges. Et ainsi, tandis que l’âme évolue, le monde matériel s’abaisse dans la négociation d’un processus spirituel en cours qui amènera énévitablement à un changement total du système actuel (heureusement). Mais pour arriver à ce bet attendu, le travail de chaque être est encore très long et pénible. L’orgueil, la peur, la vexation, la haine, la négation des sentiments propres et d’autrui,  le pouvoir effréné font encore la loi. Et l’amour n’est pas toujours l’arme pour abattre certaines formes de méchanceté et de pouvoir abusif. Dieu Mère et Dieu Père se sont toujours faits tot petits pour aider leurs enfants dans le difficile chemin de la vie, tous pensent qu’ils n’ont jamais souffert quand ils naissaient sur la terre et d’autres planètes pour apporter les justes réformes et enseigner aux créatures le bon comportement. Cette erreur fait que les gens se croient toujours incapables d’affronter leurs problèmes. L’image d’un Christ crucifié qui donne sa vie pour la rémission des nos péchés nne nous aide pas à prendre conscience de nous-mêmes nì de nos actes, et ce manque de croissance produit une distorsion dans l’onde énergétique vitale qui parcourt la planète. Au contraire, il vaudrait beaucoup mieux savoir que nous sommes à un tel point de dureté et de cruauté que nous impliquons nous-mêmes la vie de la Divinité qui descend sur terre pour aider les créatures en personne.

Il y a quelques jours je lisais sur un journal «Le Christ n’a pas souffert les douleurs de la cricifixion, il était Dieu et ainsi entrait dans une autre dimension pendant qu’ils le clovaient et le flagellaient « . C’est un erreur ! Dans ce sens que tous les êtres peuvent être Christs potentiels et ne pas ressentir les douleurs du corps, il suffit d’être yogi, fakir, ou simplement d’avoir techniquement éliminé le processus de sensibilité au seuil de la douleur. Il reste par contre le fait qu’au niveau du cœur, de l’émotivité, le Dieu et la Déesse souffrent également des actes méchants que des êtres proches d’eux peuvent causer, volontairement ou non.

Sachez que qui autant aime, autant doit être aimé. En cela est le concept « aime ton prochain comme je vous aime ».

A. M. G.